dimanche 23 novembre 2008

Je me fais manger par les chiens du voisin.



En cette journée, c'était un soleil ardent qui régnait et je ne pouvais plus relever la tête dûs-je me cacher le visage à l'aide de mes mains. La sueur venait glisser sur mon visage. Je m'essuyais tout le temps le visage mais... Je n'en pouvais plus... J'avais du mal à marcher et cet putain de claudication m'accablait! Je n'en pouvais plus...Je vacille, je titube, je me suis même agenouiller... J'ai peine à me relever... Ces foutus mouches commençaient à tourner autour de moi. Ces salopards d'insectes me léchaient, ils adoraient ça, j'étais pour eux ce repas tant attendu car, putain...je sentais déjà le miasme. Et cette fichue kyrielle de sons...Ventilateur, mouche, claque... Ventilateur, mouche claque...

Ah! Je hais la routine! Putain d'examens!

3 commentaires:

Muzzy a dit…

J'aime bien comment tu écris , t'écris bien. C'est un joli labguage dénué de prétention et de lourdeur. C'est pas mal du tout je trouve.

Et moi je ne connais pas la chaleur , la sueur , moi petite française du Nord. Chacun son climat.
Moi j'en ai marre du froid qui ankylose tout mes membres et , qui le matin fait grincer mes os. Le froid , ça fait mal quand ça pénétre un corps. Il laisse des courbatures d'un corps qui se plie. Un corps dans le froid est un corps rigide et ferme. Dans la chaleur , il est las , rempli de molesse , incapable de bouger tant il est assommé par une certaine lourdeur apporté par la chaleur. Chacun son climat.

Muzzy K.

Muzzy a dit…

Ps : Le blog a un rapport avec un certain peintre impressioniste n'est ce pas ?

Salim Berkoun a dit…

Oh mais t'es pas mort!!!!
Ca ça fait plaisir!!!

Et moi aussi j'aime beaucoup ce que tu écris, très dérangeant tes textes (dans le bon sens, dans le sens baudelairien)